il appelle les fidèles musulmans à la prière

Grigny lundi 12 avril 2021. La salle Ravin, qui servait de lieu de prière pour les musulmans depuis 2007, est fermée depuis plus d’un an. LP/N.C. LP/Nolwenn Cosson Cest l’ex-Place de la de la nation qui a accueilli la prière de la fête de la Tabaski à Gaoua, ce dimanche 11 août 2019. Les fidèles musulmans ont prié pour la cohésion sociale, la stabilité et la sécurité au Burkina. Tweet: Les fidèles musulmanes de Gaoua, à l’instar des autres du Burkina, ont célébré la Tabaski cette année sous le signe de la cohésion sociale, de la Bangolo-La prière de commémoration de l’Aïd-el-kébir, communément appelée tabaski, a été interrompue à Bangolo, samedi 09 juillet 2022, par une forte pluie avec son corollaire de CheikhImams Tegnami, Wakaya, Awali, Haliloulaye, Abdoulaye et Garba ont sensibilisé, ce jour 12 Novembre 2021, les fidèles musulmans sur l’importance de la vaccination contre la pandémie du Covid-19, dans la ville de Parakou (département du Borgou dans le Nord du Bénin à 415 km de la capitale Cotonou). Cet engagement de ces leaders religieux en faveur Aprèsavoir pendant des années appelé cinq fois par jour les musulmans à la prière, les petits haut-parleurs accrochés au minaret de la mosquée Gadji Sultanali, dans le centre de Bakou, sont nonton the walking dead season 11 episode 24 sub indonesia. Il est 13h27 à Istanbul. Des minarets de Sainte-Sophie s’élève la voix du muezzin. Elle clame Allah est le plus grand» et interpelle les fidèles Venez à la prière! Venez à la félicité!»Ils sont déjà là, par milliers, contemplant l’instant historique. Celui où Sainte-Sophie, qui fut au temps des Ottomans la première mosquée d’Istanbul convertie aussitôt conquise, résonne à l’unisson de celles qui l’ont suivie. Ce 24 juillet 2020, pour la première fois depuis 86 ans, les musulmans sont invités sous sa grande aussi Sainte-Sophie se reconvertit en mosquéeIl s’agit d’une invitation au sens le plus concret du terme. Cinq cents personnes ont été conviées au programme d’ouverture de la Mosquée Sacrée de la Grande Sainte-Sophie», le nouveau nom des lieux, en présence du président, Recep Tayyip Erdogan. Ministres, chefs de parti, représentants d’association, journalistes proches du pouvoir avaient reçu ces derniers jours leur carton d’invitation. Kemal Kiliçdaroglu, le chef du principal parti d’opposition, est l’un des rares qui manquent à l’appel. Il a refusé de prier devant les caméras».Tapis tourné vers La MecqueDepuis le début de la matinée, les fidèles foulent le tapis neuf aux nuances turquoise, dont le fabricant raconte fièrement que même les fibres 100% laine sont tournées vers La Mecque». Chacun se déchausse à l’entrée et les femmes, têtes voilées, avancent vers l’espace qui leur est réservé. En turban et tunique blancs, le chef de l’Autorité des affaires religieuses Diyanet grimpe les marches du minbar. Il tient un sabre dans la main gauche – une tradition ottomane – et prononce le sermon avant la prière rituelle. Nous sommes témoins d’un moment historique […] Dieu merci, c’est la fin d’une blessure profonde dans le cœur de notre nation», proclame cet imam, en préambule d’un prêche d’une vingtaine de minutes. Sous le dôme, les fidèles l’écoutent, éloignés les uns des autres par un mètre de distance sociale». La scène est toute différente dehors, sur la vaste esplanade et dans les rues adjacentes, où des dizaines de milliers de fidèles se joignent à la prière, presque collés les uns aux autres. Un écran géant retransmet les images de la mosquée, tandis que 21 000 policiers surveillent la foule qui se prosterne sous le soleil brûlant de midi.Il ne s’agit pas de gagner un nouveau lieu de culte. Derrière nous, il y a la mosquée de Sultanahmet, on pourrait très bien y prier. Il s’agit de prendre en charge l’héritage de notre ancêtre, le sultan Mehmet le Conquérant», s’enthousiasme Cihat Cengiz, un jeune enseignant qui a fait 150 km pour prier devant Sainte-Sophie. J’y étais déjà venu quand elle était un musée, c’était impossible d’y prier, les gens marchaient avec leurs chaussures là où les fidèles auraient dû poser leurs tapis. Grâce à notre président, la Turquie s’est enfin libérée de cette malédiction.»Cacher les fresques byzantinesAux premières loges, les yeux rougis par une nuit d’insomnie, Serhat Maden a hâte d’entrer dans l’édifice. Il ne comprend pas les critiques de certains pays étrangers. Nous ne convertissons pas une église en mosquée, nous récupérons une mosquée qui n’aurait jamais dû être musée!» s’exclame-t-il. Des frères musulmans du monde entier sont ici aujourd’hui… Nous respectons toutes les croyances et nous attendons la même chose des autres.»Tout est allé très vite. Le 10 juillet dernier, le Conseil d’Etat révoquait le statut de musée offert à l’édifice en 1934 par le fondateur de la République, Mustafa Kemal Atatürk. Son lointain successeur, Recep Tayyip Erdogan, décidait aussitôt de le restituer au culte. En pratique, moins de 15 jours auront suffi pour que le musée devienne mosquée, avec tous les aménagements que ce changement de statut défi cacher, tout en les préservant, les fresques et mosaïques héritées de la première vie» de Sainte-Sophie, l’église byzantine 537-1453. Les autorités ont choisi un système de rideaux, assurant que pas un seul clou» n’avait été planté dans la structure du en disparitionRecep Tayyip Erdogan s’est engagé à ce qu’en dehors des heures de prière, Sainte-Sophie reste ouverte à tous, musulmans et non-musulmans». Une allusion, d’abord, aux visiteurs étrangers. Car les minorités de Turquie, notamment les orthodoxes hellénophones – les Roums», descendants des Byzantins –, ont vu leur population fondre au fil du XXe siècle, à force de pogroms, d’expulsions, de également Priez pour eux, sainte Sagesse d’IstanbulLes Roums d’Istanbul étaient au moins 100 000 au début des années 1950, ils ne sont plus que 1800. Ceux-là ont accueilli dans un silence inquiet l’islamisation de Sainte-Sophie. Juste avant les pogroms de 1955, on lisait dans la presse des articles dénigrant et menaçant les Roums», se souvient Mihail Vasiliadis, figure de la communauté. Avec tous ces débats autour de Sainte-Sophie, on a vu réapparaître des articles similaires qui ont apeuré les Roums et toutes les minorités religieuses. A tel point que quand la décision sur Sainte-Sophie a été annoncée, beaucoup se sont dit Ouf! Cette affaire se termine sans qu’il nous soit arrivé quoi que ce soit». "Dieu pleure, s'il voit ça" dans une grande mosquée de Châteauroux, comme partout ailleurs en France, la prière du vendredi a été dominée par l'attentat contre Charlie Hebdo, et suivie d'un rassemblement dénonçant les auteurs du carnage."Ces gens-là n'ont rien compris à la religion musulmane. C'est un comportement barbare", dit Boumedien Chbani, secrétaire de l'Association cultuelle et culturelle des Marocains de l'Indre ACCMI, qui gère la Mosquée des Bienfaiteurs à Châteauroux, un grand bâtiment récent en forme de halle, surmonté d'un toit en tôle rouge et d'un clocheton, mais sans minaret."Le Coran n'a jamais demandé de tuer", renchérit le président de l'association, Bouchaib Hamdani, deux jours après l'attentat qui a fait 12 morts au siège parisien de l'hebdomadaire la prière et le prêche -en arabe, puis en français- de l'imam marocain Hassan Fadili, faisant l'éloge de la "miséricorde et la compassion" du prophète Mahomet, y compris envers les animaux, les quelque 300 fidèles se rassemblent devant la mosquée, la plus importante des trois lieux de culte musulman de le parking, dans un quartier HLM, ils rejoignent sous un crachin tenace une trentaine de non-musulmans, certains portant des badges frappés du mot d'ordre "Je suis Charlie", en français et en par des fidèles, jeunes et vieux mêlés, en habit de ville ou en gandoura, des banderoles proclament "défendons les valeurs républicaines", "non à la violence", "Condamnation - indignation".Des femmes soutiennent un calicot "l'islam = paix, tolérance, respect". Dans la petite foule, des pancartes comme "le terrorisme n'a pas de religion", "sans foi ni loi"."Celui qui n'est pas miséricordieux envers les hommes n'aura pas droit à la miséricorde d'Allah", avait tonné auparavant l'imam , vêtu d'une djellaba immaculée, du haut du minbar chaire. Stigmatisant des terroristes qui "salissent l'image de l'islam", le religieux a souligné que "nous, les musulmans, nous sommes aussi les victimes directes ou indirectes de tels agissements", avant de mener la prière des fidèles prosternés devant le mihrab, indiquant la direction de la le groupe de fidèles rassemblés face à la mosquée, le vice-président de l'ACCMI, Faouzi Jawadi, appelle sous les applaudissements "tous" les fidèles à participer au rassemblement organisé dimanche devant la appel relayé dans la plupart des mosquées du pays, comme à Paris par l'imam Abdel Qader Achour, de la mosquée de la rue Jean-Pierre Timbaud XIe arrondissement. "Nous allons tous y aller", a assuré à l'AFP un fidèle, Mahmoud 'Patience' face aux provocations -"Oui, j'irai à la manifestation", a proclamé l'imam Chabbar Taieb, de la mosquée Ali, rue du faubourg Saint-Denis à Paris, qui a demandé aux fidèles "de faire preuve de patience face à d'éventuelles provocations anti-musulmanes".A la grande mosquée de Paris, le recteur Dalil Boubakeur a lancé "un appel solennel à tous les musulmans de France pour participer … à la journée" de manifestation de dimanche."Tout le monde est bouleversé et ému par la tuerie qui a eu lieu à Paris", a déclaré en chaire l'imam Belgacem Ben Saïd, de la mosquée Assalam de Nantes. "En janvier 2006, quand il y a eu les caricatures du prophète Mahomet, nous étions les premiers à condamner ces images et ces caricatures. Mais rien ne peut justifier une telle violence", a-t-il tonné. "A la caricature, nous répondons par la caricature, par un dessin, à un article de presse par un article, à une interview par une interview. Mais on ne répond pas avec les armes. On ne met pas sur le même plan un dessin et une kalachnikov", s'est indigné l’imam Mustafa Riad de la mosquée de l'Union à Montpellier, devant 300 fidèles."Je fais appel à vous, à tous les musulmans de Marseille" pour participer au rassemblement prévu samedi, a lancé du haut de sa chaire l'imam Mohsen N'gazou. "Il faut que la société voie sa composante musulmane participer... avec nos chibanis anciens, nos femmes, nos jeunes" a-t-il Strasbourg, où un millier de fidèles ont pris part à la prière à la Grande Mosquée, l'imam Mohamed Moussaoui a lancé un appel à la "vigilance" pour préserver la "sécurité" de la France. "Malheur à celui qui effraie les gens chez eux ou ailleurs", a-t-il dit. "Nous vivons dans ce pays et il vous incombe à tous de préserver sa tranquillité", a-t-il insisté en souhaitant "que la justice passe"."On est pris en otages entre les extrémistes religieux et les extrémistes politiques", a dit à l'AFP Abdelkarim Ramdane, un jeune conseiller municipal venu assister à la prière qui s'interroge "comment créer des ponts pour éviter de rentrer dans la brèche de violence?" “The East London Mosque” fait la fierté des fidèles musulmans londoniens. Depuis son ouverture en 1985, cette mosquée considérée comme l’une des plus grandes mosquées de Londres, n’a cessé de s’agrandir pour devenir un point de repère dans le quartier East End de Londres. Alors qu’elle semblait initialement très spacieuse, au fur et à mesure des années elle finit par déborder surtout le Vendredi pour Joumou’a et pendant la période du Ramadan ou de l’Aïd. En 2009, un grand projet d’agrandissement opéra dans et autour de la belle mosquée. Le Prince Charles et le prince Mohamed al-Faisal soutinrent les projets de la mosquée et lancèrent la construction du Centre musulman de Londres adjacent à la mosquée “The East London Mosque”. En 2013, le Centre Maryam dédié aux femmes ouvrit ses portes pour leur permettre l’accès à un espace de prière, un centre de remise en forme ou encore à des études coraniques et de la langue arabe. Une mosquée qui aujourd’hui fait partie intégrante du paysage londonien comme on peut le voir sur cette vidéo où l’appel à la prière résonne jusqu’au bord de la route pour le plaisir des passants. Une ville modèle qui s’efforce dans une démarche pleine de tolérance de comprendre l’Islam et la communauté musulmane. Si vous ne parvenez pas à lancer la vidéo ci-dessous, CLIQUEZ ICI. Angleterre On entend l'appel à la prière dans les rues de Londres ► El Hamdoulilah ◄ Publié par El Hamdoulilah sur jeudi 2 juin 2016

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